Les Soufis - Partie 1
Bismi LLÂHi Ar-Rahmaani Ar-Rahiim
Al Hamdou LiLLÂHi Wa Sâlatou Wa Salamou 3Ala Rasou LiLLÂHi ( Sâla LLÂHou 3Alayhi Wa Salam )
La Da3wa Soufiyah
La réalité de la croyance du Wahdatul Wujud a travers les poèmes de grands soufis
Extraits du livre de Sheykh Muhammad ibn Rabi’ Ibn Hadi Al-Madkhali : « La réalité du Soufisme à la lumière du Qur’an et de la Sunnah ».
Les écoles de pensée parmi les soufis
Il est possible de diviser les idéologies des soufis extrêmes en trois catégories:
La première catégorie : Les adeptes de l’école illuministe de philosophie.
Ce sont ceux qui donnent une importance plus grande aux idées philosophiques qu’au fait d’éviter une vie mondaine. L’illuminisme signifie que l’âme est illuminée par une lumière qui se diffuse dans le cœur comme le résultat d’exercices spirituels, éduquant l’âme et infligeant une punition au corps afin de rectifier et purifier l’esprit. C’est quelque chose de commun à tous les soufis, sauf que cette catégorie s’est arrêté là, et n’est pas allé jusqu’à l’affirmation qu’Allah s’incarne dans sa création, ou que tout est Allah. Cependant leur façon est contraire aux enseignements de l’islam, et ressemble plus aux religions déviées tel le bouddhisme.
La seconde idéologie est celle de ceux qui croient au Hulul, ceux qui disent qu’Allah s’incarne dans les êtres vivants, est Allah le très haut, est loin de tout cela. Cela a été ouvertement proclamé par quelques soufis extrêmes tel Al-Husayn ibn Mansour Al-Hallaj, qui a été déclaré mécréant par les savants. Ils ont ordonné son exécution et il a été crucifié en 309 H. Les propos suivants lui sont attribués :
« Gloire à lui qui a manifesté sa nature humaine
Cachant la lumière perçante de sa divinité
Bien que sa création l’ai vu ouvertement
Sous la forme de quelqu’un qui mange et boit
[ Attribué par Al-Wakil au livre « at-Tawassin » de Al-Hallaj ]
ou ses dires :
« Je suis celui que j'aime , ce que j'aime est moi; nous sommes deux âmes Co-habitant un seul corps . Si vous me voyez, vous le voyez et si vous le voyez, vous me voyez ».
Al-Hallaj croyait au Hulul ( fusion d’Allah avec sa création) et croyait en la dualité de la nature divine, et qu’Allah a une nature divine et humaine. Ainsi le divin s’incarne dans l’humain, et l’humain est la nature divine de la divinité, et le corps est sa forme humaine.
Malgré son exécution pour apostasie et le fait que les leaders soufis de l’époque se sont désolidariser de lui, d’autres le considèrent comme un soufi, disent que ses croyances sont correctes, et répètent ses paroles. Parmi eux on compte Abdul-‘Abbas ibn ‘Ata Al-Baghdadi, Muhammad ibn Khalif Ash-Shirazi et Ibrahim an-Nasrabadhi, comme rapporté par Al-Khatib Al- Baghdadi.
La troisième idéologie est celle du Wahdatul-Woudjoud, c’est à dire que toute existence a une seule réalité, et que toute chose que l’on voit est un aspect de l’essence d’Allah. Le leader et promoteur de cette croyance est Ibn ‘Arabi Al-Hatimi At-Ta’y, qui a été enterré à Damas en l’an 638H. Il dit à propos de cette croyance dans son livre « Al-Futuhatul-Makkiya » :
« L’esclave est le Seigneur et le Seigneur est esclave
Que je désire connaître qui est le redevable
Si je dis : c’est l’esclave, ce sera la vérité
Et si je dis le Seigneur, pourquoi devrai-je être redevable ? »
[ « Al-Futuhatul-Makkiya » comme attribué par le Dr Taqiyudin Al-Hilali dans son livre « Al-Hadiyatul-Hadiya » ]
Il a aussi dit dans Al-Futuhat :
« Ceux qui ont adoré le veau, ont adoré rien d’autre qu’Allah ».
[«Al-Futuhatul-Makkiya » comme attribué par Ibn Taymiya dans « Al-Fatawa »(vol 11) ]
Ibn ‘Arabi est appelé Al-‘Arifbillah ( celui ayant une grande connaissance d’Allah), par les soufis, et aussi Al-Qutbul-Akbar ( le grand pivot ), Al-Miskul-Adhfar ( la plus belle odeur du Musk ), malgré sa croyance dans le Wahdatul-Woujoud et autres dires calamiteux. En effet, il a loué Pharaon et a affirmé que celui-ci est mort en état d’Iman ! De plus il a critiqué Harun pour sa critique des adorateurs du veau, s’opposant au dires du Qur’an. Il a aussi dit que les Chrétiens étaient mécréants seulement parce qu’ils ont réduits la divinité à ‘Issa, alors que si ils l’avait généralisé à tous, ils ne seraient alors pas mécréants.
Parmi ce groupe, on compte Ibn Bashish qui a dit « O Allah sauve moi de la boue du Tawhid, et plonge moi dans l’océan de l’unité, et mélange moi dans l’état d’unité afin que je ne voie, n’entende ou ne sente qu’à travers cela ».
Exemple de l’iniquité des soufis extrêmes
O frères, en expliquant l’état des soufis, notre intention n’est pas de nous moquer des soufis, mais d’avertir les musulmans de leur duperie afin qu’ils ne soient pas trompés par leurs ruses et trucages.
En effet, les savants du passé et présent ont écris des livres dénonçant la déviation des soufis. Parmi ces livres on compte le livre « Talbis Iblis » de Al-Hafidh Ibn Jawzi, qui est mort en l’an 597H. Il a écrit la plus grande partie des trois cents pages en réponse aux idées des soufis, leurs croyances, pratiques, habits, leur permission des instruments musicaux, des chants et danses, et leur appréciation de la compagnie de jeunes garçons. Aussi, une grande attention leur a été consacré en réponse et combat par Shaykhul-Islam Ibn Taymiya (ra). Il a souffert de leurs mains et est allé en prison jusqu’à sa mort. Aussi le Savant Burhaan ad-Din al-Baqa`i, qui est mort en l’an 885H a écrit des livres contre les soufis :
Tanbih al-Ghabbi ilaa takfeer ibn Arabi’ ( Dénonciation à l’ignorant de la mécréance de ‘Ibn ‘Arabi)
Tadhirul-‘Ibad min Ahlil-‘Inad bibid’atil-Ittihad ( Prévention à l’adorateur de la foule entêté contre l’innovation de la croyance que toute existence est Allah ).
Ces deux livres ont été publiés ensemble en un seule volume, avec la vérification de Shaykh Abdur-Rahman Al-Wakil (ra), et qui s’appelle « Masra’is-Soufiya » ( Le coup fatal contre le soufisme). Dans ces livres Al-Baqa’i cite les dires des savants qui ont déclaré ‘Ibn ‘Arabi et ‘Ibnul-Farid de mécréants, et il cite leurs dires et poèmes sur lesquelles ils ont été déclarés mécréants. O frères, le savant Burhaan ad-Din al-Baqa`i a dit, expliquant la croyance de ‘Ibn ‘Arabi au début de son livre « Tanbih al-Ghabbi » : « Il faut savoir tout d’abord que le discours de ‘Ibn ‘Arabi tourne autour de l’unité non restreinte de toute existence, et qu’il n’y a rien d’autre dans le monde, et que la divinité est un tout qui n’existe pas sans ses parties ».
Ensuite écoutez donc les paroles ‘Ibn ‘Arabi sur le sens le nom d’Allah « Le Très Haut » Al-‘Aliy. Il dit : « Parmi ses noms parfaits est « Le Très Haut », mais au dessus de qui ? Il n’y a rien excepté lui… donc sa Hauteur est par rapport à lui même, et concernant l’existence, il est l’essence des ces choses qui existent ». Jusqu’à dire : « Il est ce qui est manifeste et ce qui est caché lorsqu’il est manifeste. Il n’y a personne pour le voir si ce n’est lui même. Il n’y a rien de caché à lui, puisque qu’il se manifeste à lui même, caché de lui, et il est celui qu’on appelle Abu Sa’id Al-Kharraz. Et de même concernant les noms et d’autres choses nouvelles ».
[ Cité par Baqa’i p63-64 et attribué par Al-Wakil à « Fusus Al-Hikam » p 76-77 de ‘Ibn ‘Arabi ].
Donc d’après ‘Ibn ‘Arabi, toute chose est Allah, et il affirme clairement qu’Allah est Abu Sa’id Al-Kharraz. Abu Sa’id Al-Kharraz est un soufi de Bagdad mort en 277H. O frères, cette affirmation n’est elle pas pire que ce que les Chrétiens disent d’Allah. Et Allah est au dessus et loin de tout cela.
Imam Zaynudin Al-‘Iraqi a dit en réponse à quelqu’un qui l’a questionné sur ‘Ibn ‘Arabi : « Quant à ses paroles qu’Il est toute chose manifeste et toute chose cachée, cette une affirmation empoisonnée d’unité non restreinte et que toutes les créatures vivantes sont Lui. Le fait que c’est bien le sens de ce qu’il dit est montré clairement par les paroles suivantes que « Il est celui qu’on appelle Abou Sa’id Al-Kharraz. Et de même concernant les noms et d’autres choses nouvelles ». Donc quelqu’un qui dit cela et y croit est un mécréant par consensus des savants ». [ Le livre de Al-Baqa’i p66 ]
Al Hamdou LiLLÂHi Wa Sâlatou Wa Salamou 3Ala Rasou LiLLÂHi ( Sâla LLÂHou 3Alayhi Wa Salam )
La Da3wa Soufiyah
La réalité de la croyance du Wahdatul Wujud a travers les poèmes de grands soufis
Extraits du livre de Sheykh Muhammad ibn Rabi’ Ibn Hadi Al-Madkhali : « La réalité du Soufisme à la lumière du Qur’an et de la Sunnah ».
Les écoles de pensée parmi les soufis
Il est possible de diviser les idéologies des soufis extrêmes en trois catégories:
La première catégorie : Les adeptes de l’école illuministe de philosophie.
Ce sont ceux qui donnent une importance plus grande aux idées philosophiques qu’au fait d’éviter une vie mondaine. L’illuminisme signifie que l’âme est illuminée par une lumière qui se diffuse dans le cœur comme le résultat d’exercices spirituels, éduquant l’âme et infligeant une punition au corps afin de rectifier et purifier l’esprit. C’est quelque chose de commun à tous les soufis, sauf que cette catégorie s’est arrêté là, et n’est pas allé jusqu’à l’affirmation qu’Allah s’incarne dans sa création, ou que tout est Allah. Cependant leur façon est contraire aux enseignements de l’islam, et ressemble plus aux religions déviées tel le bouddhisme.
La seconde idéologie est celle de ceux qui croient au Hulul, ceux qui disent qu’Allah s’incarne dans les êtres vivants, est Allah le très haut, est loin de tout cela. Cela a été ouvertement proclamé par quelques soufis extrêmes tel Al-Husayn ibn Mansour Al-Hallaj, qui a été déclaré mécréant par les savants. Ils ont ordonné son exécution et il a été crucifié en 309 H. Les propos suivants lui sont attribués :
« Gloire à lui qui a manifesté sa nature humaine
Cachant la lumière perçante de sa divinité
Bien que sa création l’ai vu ouvertement
Sous la forme de quelqu’un qui mange et boit
[ Attribué par Al-Wakil au livre « at-Tawassin » de Al-Hallaj ]
ou ses dires :
« Je suis celui que j'aime , ce que j'aime est moi; nous sommes deux âmes Co-habitant un seul corps . Si vous me voyez, vous le voyez et si vous le voyez, vous me voyez ».
Al-Hallaj croyait au Hulul ( fusion d’Allah avec sa création) et croyait en la dualité de la nature divine, et qu’Allah a une nature divine et humaine. Ainsi le divin s’incarne dans l’humain, et l’humain est la nature divine de la divinité, et le corps est sa forme humaine.
Malgré son exécution pour apostasie et le fait que les leaders soufis de l’époque se sont désolidariser de lui, d’autres le considèrent comme un soufi, disent que ses croyances sont correctes, et répètent ses paroles. Parmi eux on compte Abdul-‘Abbas ibn ‘Ata Al-Baghdadi, Muhammad ibn Khalif Ash-Shirazi et Ibrahim an-Nasrabadhi, comme rapporté par Al-Khatib Al- Baghdadi.
La troisième idéologie est celle du Wahdatul-Woudjoud, c’est à dire que toute existence a une seule réalité, et que toute chose que l’on voit est un aspect de l’essence d’Allah. Le leader et promoteur de cette croyance est Ibn ‘Arabi Al-Hatimi At-Ta’y, qui a été enterré à Damas en l’an 638H. Il dit à propos de cette croyance dans son livre « Al-Futuhatul-Makkiya » :
« L’esclave est le Seigneur et le Seigneur est esclave
Que je désire connaître qui est le redevable
Si je dis : c’est l’esclave, ce sera la vérité
Et si je dis le Seigneur, pourquoi devrai-je être redevable ? »
[ « Al-Futuhatul-Makkiya » comme attribué par le Dr Taqiyudin Al-Hilali dans son livre « Al-Hadiyatul-Hadiya » ]
Il a aussi dit dans Al-Futuhat :
« Ceux qui ont adoré le veau, ont adoré rien d’autre qu’Allah ».
[«Al-Futuhatul-Makkiya » comme attribué par Ibn Taymiya dans « Al-Fatawa »(vol 11) ]
Ibn ‘Arabi est appelé Al-‘Arifbillah ( celui ayant une grande connaissance d’Allah), par les soufis, et aussi Al-Qutbul-Akbar ( le grand pivot ), Al-Miskul-Adhfar ( la plus belle odeur du Musk ), malgré sa croyance dans le Wahdatul-Woujoud et autres dires calamiteux. En effet, il a loué Pharaon et a affirmé que celui-ci est mort en état d’Iman ! De plus il a critiqué Harun pour sa critique des adorateurs du veau, s’opposant au dires du Qur’an. Il a aussi dit que les Chrétiens étaient mécréants seulement parce qu’ils ont réduits la divinité à ‘Issa, alors que si ils l’avait généralisé à tous, ils ne seraient alors pas mécréants.
Parmi ce groupe, on compte Ibn Bashish qui a dit « O Allah sauve moi de la boue du Tawhid, et plonge moi dans l’océan de l’unité, et mélange moi dans l’état d’unité afin que je ne voie, n’entende ou ne sente qu’à travers cela ».
Exemple de l’iniquité des soufis extrêmes
O frères, en expliquant l’état des soufis, notre intention n’est pas de nous moquer des soufis, mais d’avertir les musulmans de leur duperie afin qu’ils ne soient pas trompés par leurs ruses et trucages.
En effet, les savants du passé et présent ont écris des livres dénonçant la déviation des soufis. Parmi ces livres on compte le livre « Talbis Iblis » de Al-Hafidh Ibn Jawzi, qui est mort en l’an 597H. Il a écrit la plus grande partie des trois cents pages en réponse aux idées des soufis, leurs croyances, pratiques, habits, leur permission des instruments musicaux, des chants et danses, et leur appréciation de la compagnie de jeunes garçons. Aussi, une grande attention leur a été consacré en réponse et combat par Shaykhul-Islam Ibn Taymiya (ra). Il a souffert de leurs mains et est allé en prison jusqu’à sa mort. Aussi le Savant Burhaan ad-Din al-Baqa`i, qui est mort en l’an 885H a écrit des livres contre les soufis :
Tanbih al-Ghabbi ilaa takfeer ibn Arabi’ ( Dénonciation à l’ignorant de la mécréance de ‘Ibn ‘Arabi)
Tadhirul-‘Ibad min Ahlil-‘Inad bibid’atil-Ittihad ( Prévention à l’adorateur de la foule entêté contre l’innovation de la croyance que toute existence est Allah ).
Ces deux livres ont été publiés ensemble en un seule volume, avec la vérification de Shaykh Abdur-Rahman Al-Wakil (ra), et qui s’appelle « Masra’is-Soufiya » ( Le coup fatal contre le soufisme). Dans ces livres Al-Baqa’i cite les dires des savants qui ont déclaré ‘Ibn ‘Arabi et ‘Ibnul-Farid de mécréants, et il cite leurs dires et poèmes sur lesquelles ils ont été déclarés mécréants. O frères, le savant Burhaan ad-Din al-Baqa`i a dit, expliquant la croyance de ‘Ibn ‘Arabi au début de son livre « Tanbih al-Ghabbi » : « Il faut savoir tout d’abord que le discours de ‘Ibn ‘Arabi tourne autour de l’unité non restreinte de toute existence, et qu’il n’y a rien d’autre dans le monde, et que la divinité est un tout qui n’existe pas sans ses parties ».
Ensuite écoutez donc les paroles ‘Ibn ‘Arabi sur le sens le nom d’Allah « Le Très Haut » Al-‘Aliy. Il dit : « Parmi ses noms parfaits est « Le Très Haut », mais au dessus de qui ? Il n’y a rien excepté lui… donc sa Hauteur est par rapport à lui même, et concernant l’existence, il est l’essence des ces choses qui existent ». Jusqu’à dire : « Il est ce qui est manifeste et ce qui est caché lorsqu’il est manifeste. Il n’y a personne pour le voir si ce n’est lui même. Il n’y a rien de caché à lui, puisque qu’il se manifeste à lui même, caché de lui, et il est celui qu’on appelle Abu Sa’id Al-Kharraz. Et de même concernant les noms et d’autres choses nouvelles ».
[ Cité par Baqa’i p63-64 et attribué par Al-Wakil à « Fusus Al-Hikam » p 76-77 de ‘Ibn ‘Arabi ].
Donc d’après ‘Ibn ‘Arabi, toute chose est Allah, et il affirme clairement qu’Allah est Abu Sa’id Al-Kharraz. Abu Sa’id Al-Kharraz est un soufi de Bagdad mort en 277H. O frères, cette affirmation n’est elle pas pire que ce que les Chrétiens disent d’Allah. Et Allah est au dessus et loin de tout cela.
Imam Zaynudin Al-‘Iraqi a dit en réponse à quelqu’un qui l’a questionné sur ‘Ibn ‘Arabi : « Quant à ses paroles qu’Il est toute chose manifeste et toute chose cachée, cette une affirmation empoisonnée d’unité non restreinte et que toutes les créatures vivantes sont Lui. Le fait que c’est bien le sens de ce qu’il dit est montré clairement par les paroles suivantes que « Il est celui qu’on appelle Abou Sa’id Al-Kharraz. Et de même concernant les noms et d’autres choses nouvelles ». Donc quelqu’un qui dit cela et y croit est un mécréant par consensus des savants ». [ Le livre de Al-Baqa’i p66 ]